Endiguer le phénomène des passagers perturbateurs, l’enjeu majeur du protocole de Montréal

Les comportements perturbateurs et indisciplinés des passagers aériens (également appelés « PAXI ») se sont multipliés ces dernières années. Cela comprend des faits plus ou moins graves pouvant aller du refus de se soumettre aux instructions du personnel de bord (y compris en ces temps de pandémie) à des violences de nature à affecter la sécurité du vol.

Il en résulte tout d’abord une répercussion négative sur l’expérience de voyage des autres passagers devant subir l’indiscipline d’un autre passager. Mais de leur côté, les compagnies aériennes subissent également un impact opérationnel et financier indéniable.

Ces dernières doivent faire face à ce phénomène croissant et les Etats parties l’ont bien compris en adoptant en 2014 le Protocole de Montréal, venant compléter le dispositif en vigueur depuis 1963 (Convention de Tokyo). Ce protocole est entré en vigueur le 1er janvier 2020.

Pour en savoir plus sur le nouveau dispositif, retrouver l’article: Endiguer le phénomène des passagers perturbateurs, enjeu majeur du protocole de Montréal, dans le Juristourisme, n°238,  février 2021, p44.